Pourquoi ai-je décidé de donner un nom aussi long et si compliqué à dire ???

En préambule : 

Merci à Edmond Rostand et son œuvre « Cyrano de Bergerac » pour la tirade dont je me suis grandement inspirée pour ce qui suit !

Vous !!! Vous avez un NOM … euh… un nom …. TRÈS GRAND !  L’assistance reste interloquée !

 – Très…. ?! C’est tout ?! (…) Ah ! Non ! c’est un peu court jeune homme ! On pouvait dire… Oh ! Dieu ! …. bien des choses en somme… En variant le ton, par exemple, tenez :

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Curieux : « …. mais Laurence, il est bizarre ton nom quand même, ça veut dire quoi en fait ? », « et comment tu le prononces : U MIN HI MO ? MIN ET MO ? UMINIMO ? »

Interrogatif : « c’est un peu long…. non ? t’es sure ? »,

Amical : « ça n’est pas très commercial ce nom, tu crois que les gens vont le retenir ? Je pourrais t’aider à faire plus simple, veux tu qu’on y réfléchisse ensemble ???? »

Agressif : « moi, madame, si j’avais un tel nom, il faudrait sur le champ que je me l’emputasse ! L&L ? L&L Concepts ? LL ? ça serait bien mieux non ? »

Bref, oui il est long, mais voici ce qu’il signifie :

L&LFacile, les initiales de mon prénom et de mon nom.

 

Vous suivez toujours ?! Ça va se compliquer !!!!

CONCEPTS : Plus philosophique maintenant …

Écrit par Jean LADRIÈRE

« Les théories de la connaissance s’accordent généralement à reconnaître qu’il y a essentiellement, dans l’être humain, deux modes de connaissances de la réalité, l’un qui porte directement sur le concret, saisi dans sa singularité, l’autre qui n’atteint le réel qu’à travers des déterminations de caractère abstrait (séparées des individus concrets en lesquels elles peuvent éventuellement se trouver réalisées).

Le premier mode caractérise l’intuition, le second la connaissance par concepts.

Kant définit l’intuition comme le mode par lequel la connaissance « se rapporte immédiatement aux objets et auquel tend toute pensée comme au but en vue duquel elle est le moyen ».

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On pourrait, en utilisant le terme général de représentation pour caractériser la connaissance, dire que l’intuition est une représentation singulière (c’est-à-dire portant sur le singulier) et que le concept est une représentation générale.

Mais le recours à ce terme de représentation risque d’engager l’épistémologie dans la voie d’un réalisme indirect, qui n’est pas sans poser bien des problèmes (nous ne connaissons à proprement parler que nos représentations, et nous ne connaissons le réel qu’indirectement, par l’intermédiaire de celles-ci). Il serait plus conforme aux données que fournit l’analyse de l’activité cognitive de caractériser la connaissance par l’expression d’intentionnalité assimilatrice.

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Il faudrait alors distinguer deux modalités de cette intentionnalité : l’une qui vise le concret tel qu’il se donne, de façon immédiate, l’autre qui vise le concret de façon médiate, à travers des déterminations que l’esprit peut considérer en elles-mêmes, à l’état isolé, et en tant précisément que séparées de leurs supports concrets.

Le concept peut être défini, dans cette perspective, comme la médiation par laquelle opère l’intentionnalité cognitive lorsqu’elle vise ainsi le réel à travers l’élément de la généralité… »

HUMAIN – IMAUX : Vous êtes encore là ? Merci à ceux qui sont restés jusqu’au bout !

Cette contraction pour dire que je m’occupe des humains, des animaux, de leurs relations ….

comme un trait d’union entre nos espèces,

Pour une meilleure connexion avec soi-même, avec nos animaux, avec les autres… ENSEMBLE